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j'ai bien aimer ce que vous écrivez sur votre grand père paix à son âme,
et je veu juste vous di
Par Anonyme, le 02.11.2022
le petit fils de benboulaid ivre cause un accident a batna sa mere deputé fait marcher son influence
ya pas q
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la véritable histoire de la glorieuse révolution algerienne, qui jusqu´ici n´a été contée que par des falsific
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o gens, quel est mon amour le plus grand, si vous me le demandez, je sauterais de joie a la fêererie et je dir
Par Abdelkader+wahrani, le 26.05.2013
bonjour mes ami(e)s
mon petit passage maintenant
po ur venir t'offrir ce petit café
source de bonheur
pour
Par robert87300, le 16.06.2012
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Date de création : 30.11.2011
Dernière mise à jour :
17.08.2012
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Décès d’un grand homme, défenseur des droits de l’homme et de la cause Tamazight
Ali Maames nous quitte a 79ans
Ali Maames, un grand militant de la cause amazighe, militant du mouvement national, ancien moudjahid de la guerre de Libération et fervent défenseur de la cause amazighe s’éteint à l’âge de 79 ans en France des suites d’une longue maladie.Membre fondateur du MCB (Mouvement culturel berbère) du CMA (Congrès mondial amazigh) et de l’académie berbère a toujours milité pour des causes nobles et justes dont les droits de l’homme et l’identité algérienne notamment l’amazighité. Il n’a, jamais raté une manifestation culturelle relative à la cause amazigh et a la démocratie et cela accompagné de sa femme de ses enfants et petits enfants a qui il a inculqué l’amour de la patrie de la berbérité et appris à écrire en Tifinagh. M.Maames a côtoyé les plus grand noms de la littérature algérienne et berbère à savoir Bessaoud Mohand Arab à l'Académie berbère Mouloud Mammeri, Kateb Yacine et la majorité des militants de la cause amazighe, qu'ils soient algériens, marocains, libyens ou autres, à l'image du Canarien Antonio Cobio. Aux cotés de Ali Yahia Abdenour, Saïd Sadi, Mme Chitour et Omar Abed il a aussi participé aux marches du CNCD organisées tous les samedis à Alger. Durant toute sa vie M.Maames a défendu son peuple contre l’oppression et la dictature d’un régime répressif qu’il qualifiait des plus racistes au monde. Il s’est donc consacré corps et âmes a revendiqué l’officialisation et la nationalisation de la langue Tamazighth et cela en finançant plusieurs créations d’établissements et d’associations d’enseignements de la langue. Fervent défenseur de la démocratie et des droits de l’homme, Ali Maames a participé à toutes les actions en faveur d’une Algérie algérienne et plurielle. Le CMA rend également hommage au militant actif de l’identité amazigh et cela dans un communiqué rendu public : «Le CMA, ses instances et ses membres partagent la douleur et la tristesse de son épouse, de ses enfants, de sa famille élargie et de ses amis, auxquels ils adressent leurs plus sincères condoléances. La disparition de Dda Ali est une perte irremplaçable pour la cause amazighe».Dans le même document, cette organisation non gouvernementale ajoute que «Ali Mamès a soutenu et accompagné le CMA dans ses nombreuses activités internationales. Dda Ali a participé à tous les congrès du CMA sauf le dernier, tenu en octobre dernier, à Djerba, en Tunisie, à cause de la maladie qui l’a cloué au lit. Mais sa femme et sa famille étaient présentes, car Dda Ali y tenait. Pour les militants amazighs qui l’ont connu, il restera un exemple d’homme sincèrement engagé en faveur de la cause amazighe avec des qualités humaines de bienveillance, de solidarité, d’intégrité et de courage», poursuit le même communiqué. Et pour continuer le combat du défunt, le CMA préconise aux jeunes générations de «ne pas oublier le message de Dda Ali et de poursuivre obstinément l’action jusqu’à la restauration pleine et entière des droits politiques, socioéconomiques, culturels et linguistiques des Amazighs dans tous les pays de Tamazgha. C’est la meilleure manière de rendre hommage à Dda Ali et aux autres illustres militants amazighs aujourd’hui disparus».Des centaines d’amis et membre de la famille ainsi que des admirateurs de feu Maames Ali étaient venu assister mercredi dernier à l’inhumation de l’ancien moudjahid et militant amazigh. Dans une ambiance de recueillement, l’émotion a envahit la foule dans la demeure de Ali Maames à Tizi Rached où il a été inhumé. Ali Maames a eu des funérailles dignes et sobres, comme il l’avait souhaité de son vivant dans son jardin, au milieu des orangers, des citronniers et des figuiers, lui qui a toujours respecté la nature. Etaient ainsi au rendez vous tous ces anciens frères de lutte et de combat et a ce titre nous citons Mouloud Lounaouci, Ould Ali El Hadi, directeur de la culture, Abdenour Abdeslem chercheur linguistique et journaliste, Da Moh membre du CMA des hommes de théâtre et de cinéma, d’anciens amis du défunt, des militants de la cause amazighe et nombre d’anonymes venus partager avec la famille et les habitants de Tizi Rached ces moments de recueillement. Son ami Abdenour Abdeslem dira de lui : « Ni son âge avancé, ni sa maladie et encore moins sa fonction ne l’ont empêché d’être de tous les rendez-vous pour nos apporter son soutien mais surtout son assurance qui amplifiait notre détermination à faire valoir la cause amazigh. Il tenait son courage dans ce qu’il avait été un Amjahed durant la guerre de libération nationale. ».Il ajoute par ailleurs : « Son commerce qui etait situé prés de la place Odin au centre d’Alger (autant dire devant la gueule du monstre) fût pour nous dans les années folles marquées par la dictature de Boumediene, notre refuge le plus sûr. De-là partaient tous les tractes et les revues clandestines telles que Itij, Tafat entre autres. Depuis ce lieu se nouait discrètement les contacts entre militants. Il était prêt à sacrifier son grand magasin pour la cause. »Le combat de M.Maames continue même après sa mort car il a pris attache juste avant de rendre sa révérence avec le président de l’association des enseignants de langue berbère pour mettre à disposition dans sa demeure de Tizi Rached toute une école pour élargir aux adultes l’enseignement de cette langue pour laquelle il vouait une adoration divine.
Le message de l’ancien moudjahed et du militant actif de Tamazight reste immuable et il continuera de faire parler de lui car c’est un homme qui s’est battu jusqu’au bout pour une cause a laquelle il croyait .Sa famille tient ainsi a remercier tout ceux qui l’ont soutenu dans ces moments difficiles et pour la large mobilisation durant l’enterrement.
Par Cylia Lateb.
Bonjour,
J'ai bien aimer ce que vous écrivez sur votre grand père paix à son âme,
Et je veu juste vous dire que ça maison à tizi rachid c'est ma sœur avec sont marie qui gardé la maison actuellement, et cette année je doit yaller en algerie et pour voir ma sœur et la tombe de ton grand père et ça me fait un grand plaisir, voilla bonne journée à vous
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